Le soir du 8 novembre 1895, Röntgen observe qu'à la décharge d'un tube, complètement enrobé de carton noir,
scellé pour en exclure toute lumière et ceci dans une chambre noire, un carton couvert d'un côté de baryum
latino-cyanide devient fluorescent lorsqu'il est frappé par les rayons émis du tube, et ce jusqu'à une distance
de deux mètres. Lors d'expériences subséquentes, il place divers objets entre une plaque photographique et la
source de rayonnement et il se rend compte qu'ils ont une transparence variable. Il expérimente ensuite avec la
main de son épouse placée sur le parcours des rayons. Au développement, il s'aperçoit que l'image est l'ombre des
os de la main de son épouse, son alliance y étant visible. Les os sont entourés d'une pénombre qui représente la
chair de la main, la chair est donc plus perméable aux rayons. C'est le premier « Röntgenogram ». À la suite
d'autres expériences, Röntgen constate que les nouveaux rayons sont produits par l'impact des rayons cathodiques
sur un objet matériel. Parce que leur nature est encore inconnue, il leur donne le nom de « rayons X ». Plus tard,
Max von Laue et ses étudiants démontreront qu'ils sont de nature électromagnétique, tout comme la lumière, et
diffèrent seulement par une plus haute fréquence.
Cette découverte suscite chez les chercheurs une vive émulation, qui aboutira en France à l'affaire des rayons N ./.
Ce début de siècle peut être considéré comme l’arrivée à maturité de l’ensemble des technologies d’imageries médicales.
La radiologie de projection s’offre la venue progressive d’un détecteur potentiellement universel :
le capteur-plan. En passant de l’imagerie statique à l’imagerie dynamique, puis d’une technologie fixe à une
technologie transportable, ce détecteur couvre d’une part l’ensemble des exigences demandées par l’imagerie de
projection et répond d’autre part aux attentes liées à la radioprotection.
Les scanners médicaux voient leurs performances se stabiliser en fin de décennie
avec l’usage de détecteurs volumiques (de 64 à 320 barrettes) permettant de satisfaire l’ensemble des domaines
d’exploration dont la cardiologie. Aussi, l’évolution grandissante des puissances informatiques systématise
l’usage des post-traitements : les reconstructions multiplanaires (MPR : multiplanar reconstructions),
les projections d’intensités maximales (MIP : maximum intensity projection) et les techniques de rendus
volumiques (VRT : volume rendering technics) sont aujourd’hui incontournables en routine clinique.
En IRM, la décennie sera marquée par l’augmentation mondiale du parc d’imageur qui démocratisera cette
technologie longtemps perçue comme élitiste. La facilité d’utilisation des commandes de l’appareil et le confort
d’installation du patient resteront comme des avancées majeures. Parallèlement l’arrivée d’appareils à 3 Teslas,
augmentant l’intensité du signal réceptionné, marquera l’imagerie cérébrale et ostéoarticulaire tout en
améliorant potentiellement les études spectroscopiques et fonctionnelles.
L’imagerie interventionnelle devient une force montante des stratégies thérapeutiques et se définit
progressivement comme une technique de chirurgie mini-invasive. Les images guidant ces actes chirurgicaux
mini-invasifs n’ont plus une origine radiologique unique ; l’imagerie interventionnelle devient multimodale
et exploite l’ensemble de l’arsenal technologique : arceau de radiologie, échographe, scanner et IRM. Au niveau
de la communication d’imageries médicales, les réseaux radiologiques hospitaliers (PACS - Picture Archiving and
Communication System) ont supplanté en 10 ans les échanges et archivages par film.
La prospective est un exercice délicat et se révèle souvent « amusante » lorsque les
années ont passé. Tentons néanmoins de nous projeter dans l’avenir.
Une certitude concerne les réseaux d’images qui s’intensifieront pour atteindre des
configurations multicentriques ; parallèlement la téléradiologie continuera son installation en routine. Comme
dans le passé, les performances intrinsèques des différentes modalités d’imagerie continueront à s’améliorer.
En scanographie, l’optimisation des doses continuera à guider les futurs développements technologiques ;
les possibilités offertes par l’imagerie spectrale X ouvriront de nouvelles perspectives qui devront se
confirmer cliniquement lors de la prochaine décennie. L’IRM continuera à se démocratiser. Cependant la mutation
générale vers les hauts champs à 3T voire 7T n’est pas confirmée du fait de la qualité grandissante et de la
suffisance des performances à 1.5T. Aussi, un retour vers des appareils à bas champ (0.5T) n’est pas à exclure
dans l’avenir, notamment pour les procédures interventionnelles. La radiologie de projection généralisera
certainement sa transition définitive vers des détecteurs plans (ou assimilés) à sensibilité élevée.
Néanmoins, le contexte économique actuel imposera aussi un nouveau regard sur
l’utilisation et le choix des modalités d’acquisitions : quels appareils pour quelle organisation ? La maturité
technologique actuelle n’imposera pas, à chaque renouvellement d’appareil, l’acquisition systématique d’un
modèle plus évolué et donc plus coûteux. Les performances des appareils seront probablement choisies en fonction
de l’activité clinique du site et de son organisation. Ainsi, et toujours dans cette logique d’optimisation
économique et structurelle, de nouveaux appareils se déploieront en réponse à des besoins spécifiques :
appareils d’IRM dédiés aux articulations des membres, tomographes X « ConeBeam » dédiés aux explorations
osseuses cranio-faciales et articulaires, scanners mobiles, etc.….
Le PET Scan (Tomographie par Émission de Positrons ou TEP en français)
est un examen isotopique. Il consiste à injecter un produit légèrement radioactif (isotope) dans le
corps, qui va se fixer sur les tumeurs et/ou métastases. L'isotope le plus fréquemment utilisé lors
d'un PET Scan est le FDG, une sorte de sucre fluoré dont la durée de vie n'excède pas 2 heures.
Aucune chance, donc, d'être irradié(e) comme à Tchernobyl!
À quoi sert un PET Scan?
Le PET Scan sert à détecter une tumeur cancéreuse et/ou des métastases,
et à surveiller leur évolution. Une tumeur cancéreuse n'est pas une masse inerte. C'est un amas de
cellules qui se divisent de manière rapide et incontrôlée et consomment beaucoup d'énergie. Une tumeur
ou une métastase est donc une zone à haute activité métabolique. Le PET Scan permet de les repérer.
Comment se passe un PET Scan?
Première étape, le médecin spécialiste en médecine nucléaire commence par
t'injecter un isotope dans le corps. L'isotope va se fixer sur les masses anormalement actives. Cette
étape peut prendre un certain temps (une à deux heures). Deuxième étape, tu t'allonges sur la table
du PET Scan, une machine semblable à un gros donut, et tu passes à travers le tube. Celui-ci
contient une série de capteurs sensibles au rayonnement radioactif de l'isotope. Troisième étape,
sur base des données enregistrées, de puissants ordinateurs reconstruisent les images finales.
Le PET Scan permet:
• d'examiner l’ensemble du corps en un seul examen et donc de traquer des métastases.
Préparation non comprise, il dure environ 50 minutes.
• de visualiser des tumeurs qui, à cause de leur petite taille, ne sont pas
toujours visibles aux examens radiologiques classiques. Les tumeurs ayant une importante activité
métabolique, le PET Scan permet de les voir, quelle que soit leur taille.
• de faire la différence entre une masse bénigne (non cancéreuse) et une
tumeur cancéreuse (grâce à son activité métabolique).
Précautions particulières
Le PET Scan ne demande pas de préparation particulière, mais il faut
être à jeun. L'isotope est éliminé par l'organisme en quelques heures et ne provoque pas d'effets
secondaires connus. Par contre, il est possible d'y être allergique.Le PET Scan est formellement
contre-indiqué en cas de grossesse ou d'allaitement.
Des examens à combiner
Si le PET Scan est très sensible aux augmentations d'activité métabolique
liées aux tumeurs, il donne des images moins précises que le scanner. Voilà pourquoi de nombreux
hôpitaux sont équipés de machines hybrides, capables de réaliser en même temps un scanner classique
et un PET Scan. Ce qui permet de «superposer» les résultats des deux examens et de localiser tumeurs
et métastases avec une grande précision.
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